Le port de Syracuse est entré dans l'histoire très rapidement après la grande guerre. Bien que le commerce à eu du mal à reprendre avec tout les peuples qui étaient en froid avec les humains, il est considéré comme complètement rétabli à la date actuelle. De ce fait, le port, tel un marché ouvert, est rempli de gens et de visiteur venant de toutes parts du globe à longueur de journée. Des convois arrivent et partent, des bateaux, des navires accostent et s'en vont vers les océans. Il s'agit là d'un lieu de passage pour la plupart des gens qui s'y trouvent mais d'autres, au contraire, y restent et profitent de l'affluence quotidienne.
Une fois que l'on est sur un navire ou même un simple bateau de pêche et que l'on quitte les terres, plusieurs possibilités s'offrent à nous. Certains choisirons de passer par les voies obscures et peu visités, en aucun cas surveillés. D'autres, au contraire, cherchent à passer la mer de manière facile et sécuritaire. Ceux-ci choisiront les flots marchands, des eaux "internationales" protéger par bien des équipages de gardes armés et ayant fait voeux et promesse de protection envers ceux qui utilisaient ces eaux. Les contrôles sont nombreux, la piraterie étant la pire des plaie de notre ère.
Le pays de Syracuse est, tel une île, encerclé par les eaux. De ce fait, ses frontières sont des plages et des côtes plus rocheuses. Tant la plage du pays est longue, bien des gens pensent à être les premiers à travailler sur un second port, ouvrant la possibilité d'un commerce plus fluide avec les terres étrangères, à l'Ouest. Quoi qu'il en soit, oui, les plages sont longues, décorée, parfois de petites installations, des maisons et des auberges pour les pêcheurs ainsi que des zones de travail pour ceux-ci. Il y a bien entendu des voies de commerce moins bien vu, tel que celui des biens volés ou d'approvisionnement pour bandits. Les Pirates passent par les plages plutôt que par le port, surveillé par les gardes du roi. Celles-ci ne servent donc pas seulement à prendre le soleil.
Une fois que l'on est sur un navire ou même un simple bateau de pêche et que l'on quitte les terres, plusieurs possibilités s'offrent à nous. Certains choisiront de passer la mer de manière facile et sécuritaire. D'autres, au contraire, préféreront passer par les voies obscures et peu visitées pour pouvoir profiter d'un commerce alternatif et défier les lois mises en place pour pouvoir échanger des biens qui, sur un marché commun, n'auraient aucune valeur. Ceux-ci passeront donc par les eaux guerrières où la présence et la vigilance des forces du roi est bien plus faible. Leur pression est donc moindre, tandis que la force pirate y règne en maître.